Présentation de la Muse Aphone

Messages : 16 Date d'inscription : 15/04/2008

Généralités :

Nom : Chin'Moku [ちんもく]
• Signifiant le mutisme, l’absence de voix

Prénom : Azane [あざね]
• Composé de Aza (l’envie) et de Ne (une note, un son)

Connue sous le nom de : La Muse aphone

Âge : 25 ans

Originaire : d'Oto no kuni

Village demandé : Ame no kuni

Grade : A votre bon vouloir

Nindô : Avant de rechercher une voie, je cherche ma voix…

Philosophie : Se donner aux autres, c’est s’offrir leur sourire… S’approprier un sourire, s’est illusionner sur la façon dont on est apprécié, et montre que l’on ne connaît pas ses bases. Un sourire vaut cher, une larme aussi… Les larmes de joies sont si belles, mais pourtant, le monde exploite les larmes froides, plus rentables qu’un sourire.

Descriptions :

Description de Azane : Pour Azane, celle qu’elle est n’existe pas, la vie n’est qu’une pâle imitation d’un rêve qui peut-être commun comme partagé. On est tous de passage, car un jour, on se réveillera… C’est une jeune femme, qui dans l’illusion, est décrite d’une façon particulière, comme si la plume d’un ange l’avait imaginé dans ses détails, et qu’il avait par mégarde, insuffler la tristesse sur ce dessin si tendre. Un artiste cherchera toujours à créer une antithèse pour montrer toute sa maîtrise dans son œuvre. D’apparence, c’est quelqu’un de vraiment très beau, les regards se tournent naturellement vers elle, comme pour rendre hommage à sa beauté, exprimant ainsi l’admiration de tous… Et Pourtant, ce n’est pas ce qu’elle souhaite… Elle a un corps dont la formation est à présent terminé, et donc, toutes ses formes sont bien déterminées. Sa silhouette semble lisse et ondule comme les doux tumultes d’un fleuve calme, fine et longiligne, avec une proportion respectée qui forme une harmonie d’ensemble très agréable. Elle a une peau d’une teinte ni bronzé, ni pâle, et dont le toucher semble caresse. Comme veloutée, c’est une chose agréable à sentir contre son corps. Son visage reflète son âge, mature et déjà assagit par les quelques décennies vécues. Très fin, il semble être fragile au point de pouvoir se briser à tout moment. Ses yeux sont longs, et d’un noir profond comme les entrailles d’un antre, ou que les profondeurs obscures des abysses… Mais ils portent un regard tellement chaud à ce qui l’entoure, et reflète toute une assurance, une douce et une bienveillance rare. Rien ne semble agressif chez elle… Ils sont légèrement maquillés d’une petite poudre de bleu très lumineux, pour créer un contraste avec cette noirceur, et ainsi les faire ressortir. Néanmoins dans se tableau protecteur, ce cache une tristesse peu connue, qui lui étreint le cœur, et dont ses yeux témoignent le plus souvent par une larme furtive, qu coule sans prévenir et dévale sa joue, pour tomber dans le vide… Son nez est fin, tout comme son visage, ce qui ne jure de rien. Sa bouche demeure être en grand mystère… Silencieuse comme la mort, elle n’est pas vraiment bavarde… Sans doute l’aurait-elle été, si elle l’avait pu… Comme scellée, jamais sa voix n’avait voulu sortir d’entre ses lèvres, ne serait-ce que pour lire ses écrits si lumineux… Muette soi-disant par la génétique, Azane n’a jamais pu, ne serait-ce que s’imaginer, le bruit de sa voix… Comme en signe de chaînes qui l’étreignent, elle et ses libertés, elle porte un bandage noir sur ses lèvres et sur la partie inférieure de son visage. Les gens s’amusaient à imaginer ce que cela voulait cacher. Une absence de bouche peut-être ? Ou bien alors, une bouche déformée, ou même un sourire fendu jusqu’au bas de ses oreilles ? Tout est bon pour rire du malheur des autres… La version la plus connue sur ce bandage, réside dans la marque symbolique et d’une signification que Azane s’est faite de e dernier. Sur son front se trouvent de fines mèches, partant de la gauche, pour se rabattre sur la droite. Une frange désaxée et éméchée, mais qui trouve tout un charme sur le visage de la kunoichi. Ses cheveux sont tout aussi ébène que ses yeux, un noir ténébreux qui attire la nuit à être jalouse d’une telle intensité… Ses cheveux sont longs, et ils lui tombent en dessous des épaules, raides et lâches, fuyant le ciel et ses soleils… Elle a vraiment des traits exquis, mais pourtant, elle se cache… La tête logée entre les plis d’un tissu bleu lumineux, comme ses yeux, elle cache souvent son visage des regards du monde, préférant qu’on la remarque par sa personne, ses talents, que par sa beauté qui n’était qu’un coup de chance dans la génétique. Cette capuche était reliée à une cape, longue, qui n’avait certes rien de discret, mais dont le regard n’était pas vraiment attiré… Ainsi même son corps demeurait voilé… Son corps aurait pu être exposé sans complexe, bien au contraire, comme une fierté. Elle est d’une taille assez grande, sans l’être trop. Elle tourne autour du mètre soixante-quinze. Le haut de son corps et assez bien formée et plaisant à la vue des hommes, une poitrine, rien de démesurée, mais assez sensuelle et suffisante pour ne pas sembler à une planche. Sa taille est fine, et ses jambes sont longues, ainsi, elle ressemble vraiment au portrait de base des magnifiques demoiselles… Mais elle se cache. Sous sa cape, elle est vêtue d’une façon particulière…Une tenue courte et ouverte, qui pourtant ne semble pas vulgaire porter par elle… Un kimono noir, orné d’une bordure bleue, ayant pour vue sa poitrine assez montrée. Aucune manche relié à la base, mais elle porte de longs gants qui lui arrivent au coude, de même couleur que son vêtement. A la taille, un ruban bleu fait office de ceinture et maintient le tout fermé. Ses jambes sont assez montrées car le kimono n’est pas très long… Le tout surmonte un collant quadrillé très joli, qui rajoute des détails sur la demoiselle… Néanmoins, il est rare de voir ses jambes, puisqu’elle ne pose presque jamais sa cape… Sur sa peau, sous son kimono, il y a un étrange tatouage dont elle n’a jamais connu l’origine…
Dans la façon d’être, Azane est quelqu’un de compliqué, tout en restant simple à cerner. Elle a une façon bien à elle de considérer telle ou telle chose car elle est très ouverte à tout, et aime s’abandonner au plaisir de la philosophie su le monde actuel. C’est une personne rare, dont on en voit peu maintenant encore. Elle a un sens du sacrifice énorme, pendant longtemps elle s’était privée de toutes joies, de tous plaisirs pour ceux des autres, elle n’aime pas se donner, mais elle aime donner aux autres, telle est sa façon de voir qui lui a bien souvent manqué de peu de la faire partir de cet univers… Elle est douce et amicale, elle veut se sentir utile et aime réconforter les gens dans le besoin… Elle se sent mal sinon… Elle n’a pas la parole, mais sa musique et sa façon d’agir montre qu’elle tient au gens, et sa façon d’être avec certains leur fait comprendre qu’elle veut se tenir à leur côté. Azane aime partagé ce qu’elle a, et satisfaire les gens, même en sachant qu’ils profitent d’elle, elle se laisse faire, et ne dit rien… Le bonheur est un tout, mais que les autres soient malheureux, c’est ce que tous désirs, c’est ce que pensaient pas mal de monde, alors, pour les rendre heureux, elle subissait les malheurs et tout ce qui lui tombait dessus de la part de ces personnes… C’est une fleur de nature, bercé par la tristesse et l’envie d’être aimée par tout le monde… Si seulement elle avait réussit, elle n’en serait peut-être pas là. Elle serait prête à mourir, pour avoir un sourire de celui pour lequel son coeur est épris… Peut-être le rencontrera t-elle un jour… Elle voue un culte aux rêves des gens, et n’a pour elle, que l’envie de parler pour extérioriser ses sentiments… Elle est muette, mais pas moins idiote… Peut-être maladroite, mais elle veut être là, pour que chacun se sentent forts et se contentent de ce qu’ils sont, pour remonter le moral et faire fuir les déprimes… Azane est un remède qu’il n’y a nulle part autre sur le globe… Quelqu’un prêt à mourir pour la vie de quelqu’un… Quelqu’un pour qui tuer est une souffrance… Quelqu’un qui n’a de cesse de vivre pour les autres, quelqu’un qui n’est qu’une illusion, un rêve passager, qui s’éteindra dans l’infinité du temps, le cœur crevé par ceux qui l’auront trahis…

Particularité : Azane est quelqu’un de très étrange, mais de tellement intéressant. Cette jeune femme a des ressources exploitable, et inexploitées encore aujourd’hui. Elle possède cette génétique modifiée qui lui offre les atouts des Chin’Moku, c'est-à-dire, ce don si particulier et unique en son genre… Sauf qu’une chose étrange et tatouée sur sa peau, et cette dernière semble un peu trop à un sceau… En réalité, personne ne le sait, elle encore moins, personne appart sa mère… Mais ce sceau a une réelle utilité…

Elle aime : Azane est quelqu’un de très attacher à la culture et à l’art, et a un attrait tout particulier pour la philosophie, la poésie et la musique. Elle écrit beaucoup, c’est son passe-temps et puis, ne pouvant pas parler, pour que ce qu’elle pense soit partagé et qu’il y en est une trace un jour, il fallait que l’encre marque à vif le papier… Elle joue également de plusieurs instruments, avec une dextérité rare, sa douceur aide beaucoup à faire le partage de choses dans l’art musical. Elle joue de la harpe, le plus souvent, mais comme c’est assez peu simple à transporté, elle a rarement l’occasion de faire vibrer les cordes sous ses doigts… Autrement, plus petit et moins encombrant, la flûte traversière reste une de ses choses les plus précieuses. Elle en joue assez souvent, et espère un jour trouver quelqu’un ayant autant de plaisir à écouter le doux son des mélopées instrumentales…

Elle n’aime pas : Telle la douce fleur qui éclos au printemps, elle ne demande rien à personne et n’a rien à envier au monde. Il y a peu de chose qui l’insupporte, puisqu’elle demeure quelqu’un de très ouvert à un peu tout ce qui peu l’enrichir, néanmoins, elle a horreur des despotes et de ceux qui se prennent pour le centre même de cette planète. Elle n’a rien à envier des Kage, d’ailleurs, elle tire plus une certaine admiration qu’autre chose, mais les gens qui se prennent pour des Dieu, elle a envie de leur apprendre la beauté de la vie, et le coût pour la préserver. Sinon, le reste l’importe peu, que ce soit l’hypocrisie comme le reste, elle s’en moque, car le monde pense ce qu’il veut, et de la faon dont il le souhaite. Elle-même dit toujours que tous sont des hypocrites, car qui dans sa vie n’a pas médit une chose… Azane elle, médit la mort, mais n’en a pas peur.

Messages : 16 Date d'inscription : 15/04/2008

Famille proche :

De ce côté-là, Azane est satisfaite en tout point, mais si seulement elle savait toute la vérité. Elle vivait dans une petite famille de quatre personnes, qui étaient chacun en certains points, plus ou moins équivalent à la gentillesse de la kunoichi, mais en moins poussée. Elle tait la plus jeune de la famille, juste née après son aîné. Ce dernier ce nommait Kairo, jeune ninja qui défend les couleurs d’Oto depuis toujours. Il a aujourd’hui vingt-cinq ans, et est le pieds d’appuie de la nouvelle génération de ninja de son village… Il était aussi, entre autre, le fiancé de Azane… Cette tradition ridicule avait persistée et persiste encore. Tout cela mettait mal à l’aise la demoiselle, ce qui expliqua après bien des choses… Ses parents étaient tous deux aussi ninja, et sa mère avait l’avantage du don, que les autres n’avait pas. Elle le reçu donc de sa mère, ce cadeau génétique… Sa mère se nommait Nihao, une magnifique jeune femme qui faisait tourner la tête du monde entier. Elle aimait jouer de son physique, et souvent, elle ne rentrait pas les soirs… C’était une coutume, mais le père de Azane, Tekaru, ne s’en rendait pas compte. Il était quant à lui, ninja personnel du dirigeant du village, et avait pour seul but de servir de bouclier à tout. C’était aussi son charmant défouloir… Il servait à ce que le chef se sente bien, quitte à devoir subir ses humeurs…

Histoire du clan :

Cela remonte à bien longtemps, à la fondation même de Oto no kuni… Une famille avait un héritage bien étrange, et tellement lourd, un fardeau si grand, qu’elle en avait honte… Les membres de ce clan ne pouvait pas exprimer, et en aucune manière avec des mots, leur façon de voir le monde, l’horreur comme la beauté, la nuit et le jour… Dépourvu de leur moyen principal d’expression, on peut dire au sens propre, qu’on leur a ôté les mots de la bouche. Tous muets, ils ne savent même pas l’effet que fait la sensation de parler, si la couleur de leur timbre vocale… Tout à commencer à la fondation du village du son, quelle ironie… Un ninja spécialisé dans la voie médicale avait retenu pour ses expériences un couple qui n’avait rien demandé, qui errait, de village en village pour parfaire leurs arts… C’est là le début de l’horreur… Il avait sélectionné le couple comme cobaye officiel… Le ninja qui avait u l’envie et la modestie de se voir diriger un village, le voulait fort, et il voulait de bonnes armes pour l’entretenir et le protéger… Il avait donc laissé carte blanche pour les obtenir… La première folie de ce fou, qui avait l’avantage du scalpel, était de créer une lignée héréditaire à partir de rien, de faire une classe sociale pouvant s’opposer aux Uchiha qu’il détestait tant pour des raisons personnelles… Malheureusement, il fit pas mal de dégât durant ses modifications de l’ADN et de la génétique de ses patients… Une qui lui sauva la vie, car en leur retirant la mémoire, il se savait sauver à la fin de l’opération, et l’autre toucha l’essence même des personnes, la voix… Il supprima totalement la voix des possibilités d’acquisition de ses deux personnes, et de ceux qui les suivraient… Deux muets pour défendre Oto, l’idée lui fit rire, mais si il savait ce qu’il avait fait…
Lorsqu’il relâcha ses deux spécimens, il les programme comme des ordinateurs… Ils étaient mariés depuis voila trois ans, et ne se séparaient jamais. L’un était plus précieux que l’autre, et l’inverse… Ils étaient les dignes acolytes de ce charmant vaniteux qui voulait un village à son image, et ils étaient prêts à mourir pour lui…. Ainsi lâché dans le futur Oto, ces deux personnes vécurent animé par cette amour voulut, et il y eut belle et bien descendance, mais, ce problème de voix, lui aussi, était porté par l’hérédité… Ainsi condamnés avant même la naissance, cette famille nommée innocemment Chin’Moku, désignant le mutisme, ne se posa jamais la réelle question sur leur handicap, ni sur leur don. Pour eux, tout était clair, un Uchiha avait un don, un Hyuga aussi, et il n’y avait pas d’histoire derrière ça, pour eux, c’était pareille, le droit d’expression en moins… D’une pierre deux coups comme ça, ainsi Oto avait des guerriers particuliers, et de plus, sans voix, c’est plus dur de mener une révolte… ainsi exploité comme des animaux, ils eurent eux toujours une pureté rayonnante. Oto était tout, un toi, une famille, leur maison à défendre. Ils étaient les féroces gardiens de ce sanctuaire… Alors qu’on les manipulait. Chaleureux, très doux et amicaux, les Chin’Moku étaient vraiment des gens d’exception, qui aimaient donner et ne rien demander en retour, juste pour la beauté d’un sourire. Ils ne parlaient pas, ils ne le pouvaient malgré eux pas, mais tous leurs gestes montraient des attitudes bienveillantes… Ils étaient appréciés, autant qu’ils étaient exploités. Ce clan apportait un baume au village, c’était son moteur moral… La particularité de ce clan, c’était une chose tellement contraire à leur handicap… Ils avaient le don particulier de manier les sons mais d’une façon plus intense que les ninpo sur les sons… Ils pouvaient créer un son doux et agréable, comme un brouhaha terrible. Ainsi ils créaient de fausses pistes, ou animaient d’une douce ambiance les soirées… Les membres de ce clan étaient essentiellement ouverts vers les arts, et donc, très cultivés, et ainsi, beaucoup, bien que sourds, étaient bardes ou poètes, car de leur plume, et de leur don, il faisait vivre leur écrits comme la voix ne pouvait pas le faire… Tous les membres de cette famille ne naissaient pas avec cette faculté héréditaire, mais tous étaient privés des mots. Il n’y avait pourtant aucune jalousie, ni aucune envie d’un membre avantagé à un membre muet simplement, ils étaient si ouverts et si liés que tout n’était que superficiel…
Pendant longtemps Oto a tenu ce clan sous sa bride, et sous son fouet. Par exemple, pour être certains que les futurs naissances de cette famille aient un maximum de chance d’avoir le don héréditaire, il forçait les membres de cette famille à se mariait entre eux, pour conserver les gênes… Il y eut pas mal de découler, mais comme depuis le début, à la racine et à la naissance du clan, on leur avait insufflé une idéologie, encore aujourd’hui ils la respectaient, et ainsi, on était au moins sûre que son prochain serait muet… Le village excluait les enfants qui avaient des troubles génétiques, des malformations suite à ce regroupement de frères et sœurs qui étaient liés par le mariage les uns au autres…

Histoire de Azane :

Tout ça remonte à loin… C’est l’histoire d’une perle, née par erreur… Cette perle se nomma Azane. L’histoire remonte à il y a vingt et un ans, sous le ciel qu’Oto avait le loisir de pouvoir voir. Tout débuta avec une femme, qui bien que ninja, n’avait pas le même sens que tout le monde de l’honneur et de la droiture. Cette femme s’appelait Nihao Chin’Moku, membre avantagé de ce clan de muets. C’était une jeune femme belle comme l’Eden, qui n’avait peur que de ce qu’elle ne connaissait pas, c’est-à-dire, plus grand-chose. Elle avait une peau claire comme la crème, des yeux verts comme l’émeraude, des cheveux violets comme l’améthyste… C’était une jeune femme qui aimait se donner à cœur dans tout, et se donner tout court… Assez dévergondée, bien que déjà mariée, elle traînait souvent le soir, et finissait ses nuits avec un homme qui n’était jamais le même. Elle nageait dans la débauche, et pour elle, ça semblait si naturel et normal… Mais ça ne déplaisait personne, ni même le chef du village qui avait trouvé ce qu’il voulait, et qui passait la voir de temps à autre… Mais Nihao était bien mariée, mariée à son cousin Tekaru, qui lui avait appris la fidélité… Il croyait en elle et ne voyait pas quel genre de femmes elle était… Il était aveugle, c’était sa cousine, mais il l’aimait, et puis dans ce clan, les liens de famille ne représentaient plus grand-chose en tant que barrière pour les sentiments aussi fort. Ils avaient eu ensemble, un enfant alors âgé de quatre années. Un petit garçon ambitieux qui rêvait de décrocher la lune pour tout le monde, un rêve irréalisable qui était le sien. Pendant que la mère de famille prenait du bon temps, le père éduquait son enfant comme il le fallait, dans les règles de l’art. Mais ce que personne ne savait à ce moment là, c’est qu’à la fait de la nuit, Nihao finirait enceinte… Kairo avait toujours voulu une petite sœur, car il avait pour simple pensée que pour défendre un être cher, il fallait en avoir un, et pour lui, sa sœur qui n’existait pas, et qui peut-être n’existerait jamais, était cette personne qui valait tous les sacrifices. Le temps passa et l’évolution des choses aussi, mais les mensonges ne faisaient que grossir, c’était presque palpable… Le dernier arrivé n’en avait plus pour longtemps…
A sa naissance, ce fut une surprise merveilleuse pour Kairo de voir une petite sœur, pour lui, une vraie ! Il demanda donc a ce qu’elle soit nommée Azane, comme le son de l’espoir qui tintait à ses oreilles en la voyant. Il était heureux, sa mère, beaucoup moins. Ainsi naquit, la perle qui n’aurait jamais du vivre, Azane, et sa vie bientôt bouleversée… Alors que Nihao était seule avec l’enfant, elle eut une crainte enfouie au fond d’elle… Si elle parlait un jour ? Non, ça ne pouvait pas être envisageable ! En maître de l’art des sceaux, elle scella la voix de la pauvre enfant dans une sorte de tatouage, qui avait la forme d’une larme sur le haut de son nombril. Soulagée, elle laissa l’enfant, et se dit que plus vite elle aura grandit, mieux ça sera. Grandissant dans la famille artificielle que sont les Chin’Moku, elle apprit comme tout le monde les arts et l’humilité, et le fait d’être dévouée à son dirigeant, et de ne jamais bronché à tous ordres donnés… Mais elle était différente. Elle avait comme un don pour faire naître les sourires, et elle aimait les voir, ces sourires… C’était pour elle la plus belle chose, et elle était la plus belle de créatrice de réconfort. Elle était prête à tout pour faire sourire quelqu’un, frère comme inconnu, elle voulait voir ce geste qui lui semblait être plus précieux que l’or, et qui était si rare. C’était le seul cadeau qu’elle demandait. Elle était mignonne, toute souriante et si douce, elle aimait les gens comme personne et était admirablement forte pour encaisser tout ce qu’on lui lançait. Mais elle n’en restait pas moins qu’une brique dans le mur de défense du village, et il fallait qu’elle s’entraîne durement… Elle aimait la musique, les sons et tout ce qui s’y rapportait, et rêvait d’un jour pouvoir chanter… Elle, muette. Elle n’avait que de cesse de penser à comment pouvait être sa voix, elle se l’imaginait, et rêvait de l’utilisait. Son rêve à elle, c’était de parler, et elle se jura qu’un jour elle y parviendrait. Néanmoins, par rapport au son, elle avait l’avantage de posséder ce que le clan avait bien voulu lui léguer. Mais ce rêve en elle persistait. Parler… Pourquoi des gens qui pouvaient le faire étaient froid au point de cacher leur voix ? Ca lui faisait mal rien que d’y penser. Avec l’âge, Azane prit de l’assurance et de la beauté, c’était certain, de ce côté-ci, elle tenait de sa mère. Elle était douée, mais très étrangement, on sentait qu’elle ne finirait jamais ninja. Dès qu’on lui proposait un combat, elle faisait tout pour ne pas toucher son adversaire pour ne pas lui faire mal, c’était ainsi, elle ne voulait pas voir de larmes, et elle se contentait d’esquiver, ce qu’elle faisait à merveille… Avec le temps, Kairo qui aimait déjà sa sœur d’un amour fraternel commençait à dangereusement pencher de l’autre côté de la balance, et ce poids faisait peur à Azane… Et comme les mariages inter-Chin’Moku était vu comme obligatoire, elle ne voulait pas entrer dans ce cercle vicieux, et souhaite se trouver quelqu’un, mais pas de sa famille, ce qui nous peut nous sembler logique. Mais malheureusement pour elle, on la fiança d’office, et elle du se retirer de la famille pour éviter le pire. Tout tournait au cauchemar… Elle fuit et se cacha, ne voulant pas affronter sa famille qui semblait se décoller des règles de la réalité. Pour seules amies, sa flûte et une cape bleue qu’elle ne retire plus… Avec le temps, elle rencontra des gens très agréables, et se promis que sa vie n’était faite que pour les faire sourire, et plusieurs fois, elle faillit perdre la vie pour eux. Mais sa vie, elle s’en moquait tellement au final… Peut-être qu’un jour elle y trouvera une importance, mais aujourd’hui elle n’était qu’une muette qui recherche sa voix, et dont personne ne sait quoi que ce soit.

Bonjour Azane et tout d'abord bienvenue !

Ta fiche est parfaite mais ne suit pas les règles, il faut que tu aille voir la fiche modèle. Tu pourras édité s'il te plait.

Je te valide par principe =) mais j'attends juste que la forme soit conforme aux règles pour valider dans la forme.

Messages : 16 Date d'inscription : 15/04/2008

J'éditerais quand j'aurais le temps, car j'ai autres choses à faire que de réécrire deux pages de descrption, et d'ailleurs, je ne sais pas faaire une descrption en deux blocs. Vous vous contenterez du minimum, mais je n'ai pas la tête a la faire maintenant

Edit : Voila j'ai effacé tout ce qui est pas dans votre fiche model !

Oh tu sais, tu n'étais pas obligé d'effacer ou de réécrire, simplement de copier coller dans les bonnes cases

Bon je te valide tout de même tu seras une exception mais chuut que ca ne s'ébruite pas =)

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